Les Hussards français à la Mobilisation, 2 Août 1914
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Planche n°1106: Les Hussards à la Mobilisation, 2 Août 1914
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Auteurs : Eric Le Maître et André Jouineau
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Planche n°1106: Les Hussards à la Mobilisation, 2 Août 1914
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Packserie n°00081: Les Dragons à la Mobilisation, 2 Août 1914
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(Photographie prise en mai 2007)
La Nécropole Nationale de Souain 28e Brigade (La Ferme des Wacques) est située au beau milieu des champs, en haut d’une colline, à environ 1,5 km de la D19. On y accède par un chemin de terre en suivant un panneau indiquant : « Cimetière militaire de la 28e brigade ».
(Photographie prise en mai 2007)
Cette nécropole est d’une superficie de 3.340 m². Les corps de 147 militaires français tués pendant la Grande Guerre y sont inhumés.
(Photographie prise en mai 2007)
Le projet de ce monument est l’oeuvre du père Doncoeur aumônier militaire des 35ème et 42ème régiments d’infanterie de Belfort.
(Photographie prise en mai 2007)
Le site est aménagé par des vétérans de la 28ème brigade, des prisonniers de guerre autrichiens ainsi que des travailleurs indochinois.
Monument aux morts du 44ème régiment d’infanterie.
(Photographie prise en mai 2007)
Ce monument honorifique en souvenir des 480 officiers et soldats tombés entre le 11 août et le 26 septembre 1915, a été intégré le 10 septembre 1985 au site de la Nécropole Nationale de la 28e Brigade (appelée également « de la Ferme des Wacques » ou » cimetière du Père Doncoeur »).
Détails du monument aux morts du 44ème régiment d’infanterie.
(Photographie prise en mai 2007)
Le monument est achevé dès la fin du mois de décembre 1915 et érigé (à l’origine) dans les champs situés à l’extrême Est de la commune de Saint-Hilaire-le-Grand.
Détails (suite) du monument aux morts du 44ème régiment d’infanterie.
(Photographie prise en mai 2007)
Monument aux morts du 60ème régiment d’infanterie.
(Photographie prise en mai 2007)
Tout comme le monument aux mort du 44e RI, ce monument fut érigé à l’origine (1915) dans les champs dans la partie Est de la commune de Saint-Hilaire-le-Grand puis déplacé vers la nécropole nationale de Souain 28e Brigade le 10 septembre 1985. Le 60ème régiment d’infanterie appartenait à la 27ème brigade.
Détails de la Plaque commémorative du monument aux morts du 60ème régiment d’infanterie.
(Photographie prise en mai 2007)
(Photographie prise en mai 2007)
Le calvaire « aux morts de la XXVIIIe Brigade » situé au centre de la nécropole.
(Photographie prise en mai 2007)
« Aux morts / de la XXVIIIe / Brigade ».
(Photographie prise en mai 2007)
« Calvaire érigé / par le R. P. Doncoeur S. J. / aumônier de la 28e Brigade / Que les jeunes générations / se souviennent du / sacrifice de leurs aînés ».
(Photographie prise en mai 2007)
Deux cercles de sépultures entourent le calvaire au centre de La Nécropole Nationale de Souain 28e Brigade.
(Photographie prise en mai 2007)
(Photographie prise en mai 2007)
(Photographie prise en mai 2007)
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(Photographie prise en mai 2007)
(Photographie prise en mai 2007)
Dans ce carré allemand reposent 13783 militaires allemands tombés au cours de la guerre 1914-1918.
(Photographie prise en mai 2007)
(Photographie prise en mai 2007)
« Dans une tombe commune / reposent ici 11320 / militaires allemands / tombés au cours / de la guerre 1914-18 / 10216 sont restés inconnus ».
(Photographie prise en mai 2007)
(Photographie prise en mai 2007)
Sépulture de Ferdinand Kurzner et August Gorges.
(Photographie prise en mai 2007)
« Dans ce cimetière reposent / 10.858 soldats allemands ».
(Photographie prise en mai 2007)
« Aux frères tombés au combat / le fidèle souvenir de la Thuringe / 1914-1918″
« Dieu vous a créé en armées grises / et vous constitue garde du temps / auprès de la limpide source des honneurs / et auprès des sombres puits des peines ».
(Photographie prise en mai 2007)
(Photographie prise en mai 2007)
(Photographie prise en mai 2007)
Pour vous rendre sur le site… Le cimetière allemand de Souain se situe à la sortie Nord du village sur le côté gauche de la D977 en prenant la direction de Sommepy-Tahure. Toutefois, pour visiter les cimetières français et allemand, vous devez emprunter la rue de la Porte Saint-Laurent. Le cimetière militaire allemand est clairement indiqué par des panneaux.
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(Photographie prise en mai 2007)
L’entrée principale par la rue de Navarin (D977).
(Photographie prise en mai 2007)
Entrée secondaire par la rue de la Porte Saint-Laurent.
(Photographie prise en mai 2007)
La nécropole est d’une superficie totale de 60.384 m², aménagée de 1919 à 1924, elle rassemble les corps de 30.734 militaires français tués pendant la Grande Guerre dont seulement 9.050 ont pu être identifiés. Les huit ossuaires réunissent les corps de 21.688 soldats. A noter que deux soldats français tués pendant la Seconde Guerre mondiale ont été enterrés dans le cimetière militaire de Souain La Crouée.
(Photographie prise en mai 2007)
Avec plus de 60.000 m² de superficie, la Nécropole nationale de Souain La Crouée est la troisième plus grande nécropole militaire 14-18 de France.
(Photographie prise en mai 2007)
(Photographie prise en mai 2007)
Deux sépultures parmi tant d’autres …
(Photographie prise en mai 2007)
« Ossuaire n°1 / Ici reposent 1192 Français /
relevés sur la commune de Souain / Morts pour la France ».
(Photographie prise en mai 2007)
« Ossuaire n°2 / Ici reposent 4350 Français inconnus /
relevés sur les communes de Souain et Suippes / Morts pour la France ».
(Photographie prise en mai 2007)
« Ossuaire n°3 / Ici reposent 4148 Français inconnus /
relevés sur les communes de / Manre, Mesnil et Hurlus / Morts pour la France ».
(Photographie prise en mai 2007)
« Ossuaire n°4 / Ici reposent 385 Français /
relevés sur la commune de Souain / Morts pour la France ».
(Photographie prise en mai 2007)
« Ossuaire n°5 / Ici reposent 430 Français /
relevés sur les communes de : /
Ste Marie-A-Py, Perthes, Mesnil, Hurlus / Morts pour la France ».
(Photographie prise en mai 2007)
« Ossuaire n°6 / Ici reposent 4446 Français inconnus /
relevés à Perthes, Tahure, Beauséjour / Morts pour la France ».
(Photographie prise en mai 2007)
« Ossuaire n°7 / Ici reposent 4334 Français inconnus /
relevés à Navarin, Perthes / La Goutte, St Hilaire, St Souplet / Morts pour la France ».
(Photographie prise en mai 2007)
« Ossuaire n°8 / Ici reposent 1243 Français /
relevés sur la commune de Souain / Morts pour la France ».
(Photographie prise en mai 2007)
La Nécropole de Souain a subi des travaux de réfection qui ont débutés à la fin de l’année 2009.
(Photographie d’Alain Girod (12/2010) – Source : www.francegenweb.org)
Fusion de Souain et de Perthes-les-Hurlus :
À l’issue des batailles de Champagne, les deux villages de Souain et de Perthes-lès-Hurlus étaient ravagés. Le village de Souain fut rebâti, celui de Perthes-lès-Hurlus ne le fut pas, son territoire fut intégré au camp militaire de Suippes. Les deux communes fusionnèrent pour donner la commune de Souain-Perthes-les-Hurlus.
(Source : wikipedia.org)
Pour vous rendre sur le site… La Nécropole de Souain se situe à la sortie Nord du village sur le côté gauche de la D977 en prenant la direction de Sommepy-Tahure. Toutefois, pour visiter les cimetières français et allemand, vous devez emprunter la rue de la Porte Saint-Laurent. Le cimetière militaire est clairement indiqué par des panneaux. Le cimetière allemand mitoyen contient 13.783 corps de soldats tués pendant la Première Guerre mondiale.
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(Photographie prise en mai 2007)
A Saint-Hilaire-le-Grand, près de la nécropole russe, existe un monument érigé en 1917 sur les lieux de leurs premiers combats par les fantassins du 2ème régiment spécial qui est dédié à leurs morts. Sur une de ses faces, on lit : « Enfants de France ! Quand l’ennemi sera vaincu et que vous pourrez librement cueillir des fleurs sur ces champs, souvenez-vous de nous, vos amis russes et apportez-nous des fleurs ».
(Photographie prise en mai 2007)
(Photographie prise en mai 2007)
Pour vous rendre sur le site… Le monument est situé au lieu-dit « L’Espérance » sur la commune de Saint-Hilaire-le-Grand en bordure de la D21 (cette route relie Auberive à Mourmelon-le-Grand), dans une petite clairière juste en face du portail d’entrée du cimetière militaire russe.
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(Photographie prise en mai 2007)
Le Corps expéditionnaire russe en France 1916-1918
En application de la convention militaire de réciprocité de l’alliance franco-russe, le tsar Nicolas II lance en août 1914 une offensive en Prusse orientale. Cette initiative s’avère désastreuse pour la Russie mais oblige l’Etat-Major allemand à retirer une partie de ses troupes du front occidental, non sans conséquence sur l’issue de la bataille de la Marne.
En 1916 à la demande du gouvernement français, la Russie envoie en France un corps expéditionnaire de 40.000 hommes répartis en 4 brigades. Deux rejoindront l’Armée d’Orient à Salonique, les deux autres seront engagées en Champagne et se distingueront près d’Aubérive, au fort de la Pompelle ainsi qu’au nord de Reims.
Au moment de la révolution d’octobre 1917, les brigades ses désagrègent et sont retirées du front. Les officiers et des volontaires forment alors une « Légion russe pour l’honneur » et continuent de se battre jusqu’à l’armistice sous uniforme français au sein de la Division marocaine, forçant l’admiration. De 1916 à 1918 les pertes ont été de 4.000 tués, 1.000 d’entre eux reposent dans la nécropole de Saint-Hilaire-le-Grand. Après la guerre les survivants, groupés en association, achètent en 1934 le terrain attenant au cimetière et y font édifier une chapelle dans le style « PSKOV-NOVGOROD » du 15ème siècle, oeuvre de l’architecte Russe Benois, descendant d’émigrés français protestants. L’intérieur a été décoré dans le respect de la plus pure tradition iconographique.
L’association du souvenir du corps expéditionnaire russe en France perpétue la mémoire de ces soldats restés fidèles à leur serment. Elle organise chaque année de la Pencôte un pèlerinage auquel participent, en présence des autorités françaises civiles ete militaires, de nombreuses associations patriotiques et formations de jeunes : Vitiaz, Scouts, Eclaireurs et Sokols.
(Photographie prise en mai 2007)
(Photographie prise en mai 2007)
Plaque commémorative de 1998 : « A la mémoire des soldats / du corps expéditionnaire russe / tombés sur le sol de France / -1916- -1918- »
(Photographie prise en mai 2007)
Le nouveau monument inauguré le 12 juin 2011.
(Source : www.defense.gouv.fr)
L’inauguration de ce nouveau monument aux morts intervient dans le cadre du pèlerinage annuel organisé par l’association du souvenir du corps expéditionnaire russe en France (1916-1918). La restauration du monument a bénéficié du soutien du ministère de la Défense et des Anciens combattants (SGA/DMPA).
(Photographie prise en mai 2007)
Le cimetière contient les corps de 915 soldats russes tués pendant la Grande Guerre, 489 en tombes individuelles et 426 répartis dans deux ossuaires.
On y trouve également la sépulture d’un sous-lieutenant russe du 23e R.M.V.E. mort pour la France le 8 juin 1940.
Sépulture de Martchenko Ievdokim du 3e RI.
(Photographie prise en mai 2007)
Ossuaire n°1 – Ici reposent / 373 Russes inconnus.
(Photographie prise en mai 2007)
Ossuaire n°2 – Ici reposent / 53 Russes inconnus.
(Photographie prise en mai 2007)
La chapelle orthodoxe édifiée en 1937 à proximité du cimetière militaire porte l’inscription suivante sur sa façade : « Aux soldats russes / morts au champ d’honneur / en France / 1916-1918″.
(Photographie prise en mai 2007)
Cette chapelle est l’oeuvre de l’architecte Russe Albert Alexandrovitch Benois.
(Photographie prise en mai 2007)
Aspect du cimetière russe de Saint-Hilaire-le-Grand dans les années Vingt.
Pour vous rendre sur le site… Le cimetière est situé au lieu-dit « L’Espérance » sur la commune de Saint-Hilaire-le-Grand et en bordure de la D21 (cette route relie Auberive à Mourmelon-le-Grand).
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(Photographie prise en mail 2007)
Le carré allemand regroupe les corps de 5359 soldats tués pendant les batailles de Champagne.
(Photographie prise en mail 2007)
Sépultures de Siegfried Ernsthal et Michael Möller.
(Photographie prise en mail 2007)
Dans une tombe commune reposent 3124 militaires allemands tombés au cours de la guerre 1914-1918.
2906 sont restés inconnus.
1914 – Hier ruhen deutsche soldaten – 1918
Ici reposent des soldats allemands
(Photographie prise en mail 2007)
(Photographie prise en mail 2007)
Pour vous rendre sur le site… Le cimétière est situé sur la commune d’Auberive (51600) en bordure de la D931 (voie de la liberté) à environ vingt-cinq km à l’Est de Reims. Le cimetière du Bois du Puits est divisé en trois parties distinctes, à gauche celle polonaise, à droite celle française et enfin en haut celle allemande.
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(Photographie prise en mai 2007)
La nécropole nationale d’Auberive s’étend sur une superficie de 23 461 m2.
Ce cimetière militaire abrite les tombes de soldats français, allemands et polonais tués principalement pendant la Première Guerre mondiale mais aussi la Seconde Guerre mondiale.
(Photographie prise en mai 2007)
La nécropole nationale d’Aubérive a été créée en 1920 pour recevoir les dépouilles des soldats tombés au cours des différentes batailles qui eurent lieux en Champagne entre 1914 et 1918.
Les corps exhumés proviennent des cimetières situés à l’est de Reims, dans le secteur des Monts de Champagne et d’Aubérive : La Voie romaine, Ferme de Moscou, Village Gascon, Estival, Mont sans Nom, Mont Blond, Mont Haut, Mont Cornillet, Mont du Casque, Mont Téton, Bois Sacré, Bois Liévin, Bois de la Chapelle, Bois du Puits.
(Photographie prise en mai 2007)
Le cimetière regroupe les corps de 6 424 soldats français.
2 908 d’entre eux sont répartis dans trois ossuaires.
Sépultures de Bechane Amed Ben Mohamed (7e Tirailleurs) et Leost Jean (151e RI).
(Photographie prise en mai 2007)
L’ossuaire n°1.
(Photographie prise en mai 2007)
L’ossuaire n°2.
(Photographie prise en mai 2007)
L’ossuaire n°3.
(Photographie prise en mai 2007)
Pour vous rendre sur le site… Le cimétière est situé sur la commune d’Auberive (51600) en bordure de la D931 (voie de la liberté) à environ vingt-cinq km à l’Est de Reims. Le cimetière du Bois du Puits est divisé en trois parties distinctes, à gauche celle polonaise, à droite celle française et enfin en haut celle allemande.
Affiche dessinée par l’artiste peintre et illustrateur Auguste Leroux (14 avril 1871 (Paris) – 26 mars 1954 (Paris)) : « Pour la France qui combat ! Pour celle qui chaque jour grandit. »
Elle fut éditée par l’imprimerie Joseph Charles à Paris en 1917. Taille de l’affiche : 120 x 80 cm.
Auguste Leroux s’est représenté sur l’affiche avec son fils André alors âgé de 6 ans.
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